21 novembre 2005
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Aujourd'hui, il fait froid. Très froid. Et heureusement que je ne travaille pas car je n'ai toujours pas retrouvé mes gants. Euh... Il est où, le rapport, me direz-vous ? C'est très simple.
Vendredi matin, en ouvrant les volets, je vois que les voitures sont toutes recouvertes d'une pellicule de glace. Confiante, je descends vers ma voiture, pour la gratter, espérant trouver mes gants à leur place : dans la boîte à gants ! Je ne porte jamais de gants, sauf pour gratter mon pare-brise. Et là, horreur : ils n'y sont pas ! Pas très motivée pour retraverser toute la ville (je plaisante... pour une fois je n'étais pas garée loin) et me remonter les 4 étages qui me séparent de mon appartement, je décide de gratter à mains nues. J'ai eu les doigts gelés !
Et donc, aujourd'hui, RTT oblige, je reste au chaud... Mais je n'ai toujours pas retrouvé mes gants pour demain... Ca va pas du tout, ça !!!
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Plusieurs heures plus tard...
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Et voilà. Après avoir vidé tous les tiroirs de ma commande, l'armoire, fouillé dans tous les recoins, j'ai fini par trouver mes gants... derrière une boîte en carton dans la bibliothèque ! C'était bien leur place !!!
20 novembre 2005
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J'ai lu il y a quelque temps sur le site de la mairie de Versailles, un
article concernant le stationnement à Versailles. Et là, l'info qui m'a choquée : 32% des automobilistes paient leur horodateur à Versailles contre 55% en moyenne nationale ! Ca fait pas beaucoup, ça. La mairie l'a bien compris et c'est quotidiennement que l'on voit la Police municipale faire sa balade dans les rues de Paris pour distribuer des PVs à tous les véhicules illégalement garés. Mes collègues m'avaient prévenu que la Police faisait plusieurs tours par jour et qu'il était vraiment imprudent de ne pas payer.
Quand je suis arrivée, mon quartier était en stationnement gratuit (le seul quartier non payant de la ville). Le nombre de voitures était hallucinant. Tous les Versaillais voulaient s'y garer. C'était une vraie galère pour trouver une place ! Des statistiques avaient été menées et le résultat avait été le suivant : "La distance parcourue en voiture pour trouver une place est en moyenne de 800m, et la distance qui sépare la place au point de destination est en moyenne de 220m".
Depuis un an, le stationnement est devenu payant. Nous avons désormais une carte de résidant. Il existe des cartes annuelles ou mensuelles. Les mensuelles coûtent 40€/mois, les annuelles 300€/an. Et désormais, à Versailles, nous donnons 300€ à l'Etat pour avoir l'immense privilège de faire près d'1,5 km par jour en voiture (soit facilement 10 minutes... sans compter que parfois, nous nous retrouvons derrière le camion des éboueurs..., sans pouvoir bouger en raison de l'exiguité des routes) pour trouver une place de parking souvent à plusieurs minutes à pied de chez soi.
C'est beau le progrès !
19 novembre 2005
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Imaginez que vous et votre ami êtes invités à manger chez la cousine de votre ami. La cousine a bien veillé à fournir à votre ami son adresse et les deux codes des portes qui vous séparent des interphones (oui oui, c'est très sécurisé comme endroit !).
Imaginez que votre ami n'a noté que l'adresse, et pas les deux codes. En cherchant un peu, vous trouvez la résidence. Bien. Et là, vous êtes confrontés à un problème : vous êtes devant un digicode, et il n'y a pas d'interphone. Premier réflexe : votre ami décide de téléphoner à sa cousine. Il allume son téléphone portable... qui s'éteint aussitôt par manque de batterie. Ouais ! Chouette ! Et vous, bien sûr, comme ce n'est pas votre cousine, vous n'avez pas ce fameux numéro qui vous permettrait d'appeler la cousine pour lui demander de vous ouvrir...
Une chance, le frère de votre ami est également attendu pour manger. Il a le téléphone de la cousine. Vous décidez de l'appeler (en urgence, puisqu'il ne vous reste à vous aussi que peu de batterie, et également peu de forfait). Vous composez le numéro... ça sonne... occupé. Eh zut ! Il doit être dans le métro et ne doit pas capter.
Bien, très bien. Vous êtes à quelques mètres de la cousine et aucun moyen de la prévenir !
Une personne entre alors dans la résidence. Vous passer la porte avec elle. Et là, vous vous retrouvez dans une cour intérieure (et donc toujours dans le froid). En cherchant un peu, vous tombez sur le bâtiment de la cousine... et devant une autre porte, avec un autre digicode... et toujours pas d'interphone...
Et là, finalement, l'idée de génie de votre ami qui vous vole votre téléphone, appelle ses parents, leur crache une phrase en quatrième vitesse : "j'ai plus de batterie, faut appeler la cousine pour lui demander de nous ouvrir, on est en bas de chez elle, je te laisse".
Et quelques minutes plus tard, la cousine arrive, un grand sourire moqueur aux lèvres ^^ !
Et bien tout ça, ça nous est arrivé hier soir...
18 novembre 2005
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Généralement, sur une grande majorité d'ordinateurs, il faut appuyer assez longtemps sur le bouton power pour arriver à l'éteindre uniquement via le bouton (et pas en passant par le menu démarrer de windows, puis "Arrêter le système"). Sauf que sur certains pc (dont celui que j'ai au bureau), il suffit d'effleurer le bouton pour que le pc s'éteigne.
Généralement, sur une grande majorité d'ordinateurs, les boutons power sont au milieu, ou en haut. Sur le mien (toujours celui du bureau), il est à 3cm du bas.
Hier, et pour la 3ème fois depuis que je suis chez Lascom, un de mes collègues a malencontreusement frappé le bouton avec son pied (il suffit juste de donner un petit coup de pied). Et zou, le pc s'éteint !
Heureusement que je sauvegarde mon travail en permanence sinon je risquerai de perdre des données... Mais cela dit, ça reste un peu pénible car il est un peu long à redémarrer. Mais hier, j'ai fini par le changer de place. C'est un peu moins pratique qu'avant, mais là vraiment, si quelqu'un me l'éteint avec un coup de pied... ça n'aura pas été un coup de pied malencontreux, mais un vrai coup de pied voulu et fait exprès !
17 novembre 2005
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Nous ne sommes que jeudi matin, et déjà, il me tarde ce w-e... Peut-être parce que je me suis concoctée un petit w-e de 3 jours 1/2. Eh oui, j'ai pris mon vendredi après-midi et mon lundi ! On ne se refuse rien !!!
Dans ma boîte, nous ne sommes autorisés à avoir que 2 jours de RTT par mois. Sachant que certains mois, des RTT nous sont imposés par l'employeur. C'est le cas en décembre, où nous avons un RTT imposé le 26 et le 30. En décembre, nous ne pouvons donc pas poser de nouveau RTT. Fatalement, en octobre et novembre, tout le monde solde ses RTT comme il peut.
Par contre, j'ai appris quelque chose qui me déçoit beaucoup de la part de notre responsable du personnel. Quand je suis arrivée chez Lascom, ce n'est pas elle qui m'a accueillie. En fait, on m'a posé devant un PC et j'ai lu de la doc (le premier jour a été des plus captivants !). Et je n'ai appris que bien plus tard (8 mois après précisemment), que nous n'avions droit qu'à 2 jours de RTT par mois. C'est un collègue qui m'en a informé. Désormais, nous en informons nous-même les petits nouveaux puisque notre responsable du personnel ne s'en charge pas. Sauf que nous en avons oublié certains... J'ai un collègue à qui il restait 4 jours de RTT au début du mois. Or, jusqu'à la fin de l'année, il ne peut en poser que 2. Et il n'a eu cette info que très récemment. Il va donc perdre 2 jours de repos... Depuis, la responsable du personnel informe les nouveaux arrivants de cette règle. Mais mon collègue ne récupèrera pas ses 2 jours. C'est vraiment injuste ! D'autant que la première année, nous n'avons pas encore de jours de congé. Les jours de repos sont donc rares. Si en plus on les perd...
Enfin... Espérons que ça serve de leçon et que la responsable du personnel nous prévienne désormais de ce genre de détails !
