4 février 2007
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Aujourd'hui, suite de l'article d'hier... Souvenez-vous, il était question de ma balade à Brest. Et nous en étions au mercredi.
Après une bonne nuit, je me lève, me prépare, et c'est parti ! Le monsieur avec qui j'avais rendez-vous est venu me chercher à l'hôtel, et nous sommes allés dans la société. Wouah ! Les locaux sont super sympas. Tout vitrés, en bois, c'est super joli. Et puis surtout, le cadre est parfait : on voit l'océan ! Il y a de gros bateaux qui circulent au loin ! Vraiment, c'est super chouette !
La matinée se passe en réunion et discussions. Puis, nous allons déjeuner. Certes, les locaux sont plus jolis que les nôtres, mais ils n'ont aucun restaurant d'entreprise à côté. Le nôtre vaut ce qu'il vaut, certes, mais il a le mérite d'exister. Alors tous les midis, direction la petite brasserie à quelques kilomètres d'ici. Et encore une fois, nous sommes les pieds dans l'eau, à deux pas de l'océan. Rah là là ! Le rêve ! En plus, le soleil est magnifique. Quasiment pas un nuage à l'horizon. Et pourtant, presque pas de vent... D'ailleurs, je suis un peu déçue. Je pensais prendre une grande bouffée d'oxygène salé, et rien, que dalle : une toute petite brise ridicule... Mais bon, il ne pleut pas... comment quoi, la Bretagne, ça n'est pas si pluvieux que cela ^^ !
L'après-midi se passe comme la matinée : en réunion.
16h15, mon chauffeur de taxi arrive. Mon train est dans 3/4 d'heure et ça me laisse un peu de marge... Même si la dame (c'est une dame, mon chauffeur) trouve que la circulation est dense. Hein ? Quoi ? Dense ? Y'a dix voitures !!! Je lui fais la remarque que moi, qui viens de Paris, je trouve que la circulation est au contraire particulièrement fluide. Et elle me répond qu'ici, à Brest, dès que 15 voitures se suivent, pour eux, c'est un embouteillage. Ah ben ! A ce rythme, Paris est sans arrêt embouteillé... En même temps, ça n'est pas si faux ^^ !
J'arrive à la gare en avance. Le train est là. Je monte. Je suis seule dans le wagon. Arf... je suis à ce qu'ils appellent : "une salle". Vous savez, les quatre sieges, face à face, avec une espèce de petite tablette au milieu. Je déteste ces places : on n'a vraiment pas de place pour bouger. Le wagon se remplit tout doucement de petits jeunes. Ils doivent avoir à peine vingt ans, tous. Ils sont dans l'école navale. Et j'ai été ravie de voir des jeunes gens responsables, propres sur eux, bien élevés. Ah non, vraiment, ça se perd. Je retrouve espoir concernant les générations futures !
Le train décolle. Enfin "décolle" n'est peut-être pas le terme approprié pour un train ! Je commence à lire, mais les petits jeunes papotent entre eux (on ne peut pas leur reprocher) et je ne comprends pas un traître mot de ce que je suis en train de lire. Bon allez, zou, on va plutôt faire une sieste. Par chance, j'ai deux sièges pour moi toute seule alors je m'étale un peu. Je dors à peu près une heure. En me réveillant, j'ai mal partout ! Que faire ? Le trajet est encore long !!! Pffff ! Je joue à Tétris. Ben ouais, c'est bien Tétris. Mais j'en ai plus que marre. Le trajet me semblera terriblement long !
Enfin, je retrouve Paris... et sa pollution (ça m'a de suite marqué, ça !). Direction, les TER... et oh, chance, un train direct part dans quelques minutes. Je m'installe et c'est parti !
J'arriverai chez moi à 22h. Pas mal ! Je suis vanée et très clairement : je déteste les transports en commun !!! Qu'est-ce qu'on est bien dans sa petite voiture "rouge tomate pelée" toute pourrie ^^ !
Après une bonne nuit, je me lève, me prépare, et c'est parti ! Le monsieur avec qui j'avais rendez-vous est venu me chercher à l'hôtel, et nous sommes allés dans la société. Wouah ! Les locaux sont super sympas. Tout vitrés, en bois, c'est super joli. Et puis surtout, le cadre est parfait : on voit l'océan ! Il y a de gros bateaux qui circulent au loin ! Vraiment, c'est super chouette !
La matinée se passe en réunion et discussions. Puis, nous allons déjeuner. Certes, les locaux sont plus jolis que les nôtres, mais ils n'ont aucun restaurant d'entreprise à côté. Le nôtre vaut ce qu'il vaut, certes, mais il a le mérite d'exister. Alors tous les midis, direction la petite brasserie à quelques kilomètres d'ici. Et encore une fois, nous sommes les pieds dans l'eau, à deux pas de l'océan. Rah là là ! Le rêve ! En plus, le soleil est magnifique. Quasiment pas un nuage à l'horizon. Et pourtant, presque pas de vent... D'ailleurs, je suis un peu déçue. Je pensais prendre une grande bouffée d'oxygène salé, et rien, que dalle : une toute petite brise ridicule... Mais bon, il ne pleut pas... comment quoi, la Bretagne, ça n'est pas si pluvieux que cela ^^ !
L'après-midi se passe comme la matinée : en réunion.
16h15, mon chauffeur de taxi arrive. Mon train est dans 3/4 d'heure et ça me laisse un peu de marge... Même si la dame (c'est une dame, mon chauffeur) trouve que la circulation est dense. Hein ? Quoi ? Dense ? Y'a dix voitures !!! Je lui fais la remarque que moi, qui viens de Paris, je trouve que la circulation est au contraire particulièrement fluide. Et elle me répond qu'ici, à Brest, dès que 15 voitures se suivent, pour eux, c'est un embouteillage. Ah ben ! A ce rythme, Paris est sans arrêt embouteillé... En même temps, ça n'est pas si faux ^^ !
J'arrive à la gare en avance. Le train est là. Je monte. Je suis seule dans le wagon. Arf... je suis à ce qu'ils appellent : "une salle". Vous savez, les quatre sieges, face à face, avec une espèce de petite tablette au milieu. Je déteste ces places : on n'a vraiment pas de place pour bouger. Le wagon se remplit tout doucement de petits jeunes. Ils doivent avoir à peine vingt ans, tous. Ils sont dans l'école navale. Et j'ai été ravie de voir des jeunes gens responsables, propres sur eux, bien élevés. Ah non, vraiment, ça se perd. Je retrouve espoir concernant les générations futures !
Le train décolle. Enfin "décolle" n'est peut-être pas le terme approprié pour un train ! Je commence à lire, mais les petits jeunes papotent entre eux (on ne peut pas leur reprocher) et je ne comprends pas un traître mot de ce que je suis en train de lire. Bon allez, zou, on va plutôt faire une sieste. Par chance, j'ai deux sièges pour moi toute seule alors je m'étale un peu. Je dors à peu près une heure. En me réveillant, j'ai mal partout ! Que faire ? Le trajet est encore long !!! Pffff ! Je joue à Tétris. Ben ouais, c'est bien Tétris. Mais j'en ai plus que marre. Le trajet me semblera terriblement long !
Enfin, je retrouve Paris... et sa pollution (ça m'a de suite marqué, ça !). Direction, les TER... et oh, chance, un train direct part dans quelques minutes. Je m'installe et c'est parti !
J'arriverai chez moi à 22h. Pas mal ! Je suis vanée et très clairement : je déteste les transports en commun !!! Qu'est-ce qu'on est bien dans sa petite voiture "rouge tomate pelée" toute pourrie ^^ !