7 décembre 2006
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Un soir d'été, j'avais un peu plus de dix ans, je ne me rappelle plus précisemment. Il faisait nuit. La chaleur de la journée était tout doucement partie même si on se baladait jambes et bras nus sans avoir le moindre frisson. Il faisait encore une température tout à fait acceptable. Les moissonneuses-batteuses avaient enfin cessé leurs va-et-vient interminables et le calme était revenu. Existe-t-il moment plus adapté pour une petite promenade ? La douce chaleur, les petits bruits de la nuit, le calme retrouvé, la pénombre... Toute la petite famille est donc de sortie pour une balade nocturne.
Tout doucement, nous nous éloignons de la maison. Nous parlons, mais tout bas... comme par peur de réveiller la nuit... C'est étrange... La maison est loin... Et l'orage approche. Ca gronde au loin. On voit les éclairs... Puis petit à petit, l'orage s'approche. Mon père ne semble pas inquiété. Il est loin, et nous avons largement le temps de rentrer ... ce que nous commençons à faire. Mais l'orage approche plus rapidement que ce que nous pensions. En tout honnêteté, j'avais très peur. C'est idiot car je voyais que mes parents ne s'inquiétaient pas le moins du monde, et moi, j'étais prête à courrir aussi vite que possible pour retourner chez nous.
Finalement, en marchant lentement, nous avons eu largement le temps de rentrer avant que les premières gouttes arrivent. Aujourd'hui, je ne comprends toujours pas comment je pouvais avoir une aussi mauvaise notion de la vitesse de cet orage. Il faut toujours faire confiance en ses parents ! Ils ont souvent raison ^^ !
Tout doucement, nous nous éloignons de la maison. Nous parlons, mais tout bas... comme par peur de réveiller la nuit... C'est étrange... La maison est loin... Et l'orage approche. Ca gronde au loin. On voit les éclairs... Puis petit à petit, l'orage s'approche. Mon père ne semble pas inquiété. Il est loin, et nous avons largement le temps de rentrer ... ce que nous commençons à faire. Mais l'orage approche plus rapidement que ce que nous pensions. En tout honnêteté, j'avais très peur. C'est idiot car je voyais que mes parents ne s'inquiétaient pas le moins du monde, et moi, j'étais prête à courrir aussi vite que possible pour retourner chez nous.
Finalement, en marchant lentement, nous avons eu largement le temps de rentrer avant que les premières gouttes arrivent. Aujourd'hui, je ne comprends toujours pas comment je pouvais avoir une aussi mauvaise notion de la vitesse de cet orage. Il faut toujours faire confiance en ses parents ! Ils ont souvent raison ^^ !